top of page
«Chez ces névrosés, la femme est très désirée et en même temps détestée. D’où la peur des femmes et le désir de les voiler, tout en les désirant fortement, de les utiliser comme objets de plaisir, et de se laver ensuite pour revenir à la propreté et la pureté, ainsi de suite… Le névrosé, c’est exactement celui qui dit ou pense que «toutes les femmes sont des putes sauf ma mère». »
«Si on veut mener un débat substantiel sur le voile, il est indispensable de parler de sexualité. Les jihadistes, dont la première cible est le corps des femmes, le confirment. C’est un symptôme de notre temps, ces tabous qu'on n'ose pas discuter, ces sujets refoulés qui tournent autour des rapports entre hommes et femmes. (…) Cette injonction à se couvrir est un terrain propice à la régression.»
«La servitude n’est ni moins haïssable ni moins condamnable quand elle se dit ou se croit volontaire. » (…) « Parler de foulard, de bandeau n’est qu’une lâcheté sémantique, c’est une misérable ruse rhétorique. De plus porter le foulard, ici, est un appui aux dictatures islamistes qui imposent la burqa là-bas. Le voile est l’emblème même du dogme islamiste. L’islam peut tout à fait vivre sans, mais il n’y a pas de pays islamistes sans le voile.»
«Pourquoi le supporte-t-on [en Europe]? Au nom de la différence culturelle? Pourquoi ne pas accepter la lapidation et l’excision en ce cas? Dans tous les pays musulmans, il y a des mariages de jeunes mineures avec des messieurs vieillissants. C’est une différence culturelle, n’est-ce pas? Mais ici elle est considérée comme un délit: la pédophilie. Qu’en pensent ces intellectuels et les islamologues?»
«Qu’y a-t-il de si dangereux dans le corps d’une petite fille pour le recouvrir ainsi? De quoi ont-ils si peur? En recouvrant les petites filles comme des femmes, en plaçant leur corps au même niveau que celui des femmes, le voile les sexualise. Un corps qui doit être recouvert, c’est un corps qui peut inspirer la concupiscence.»
bottom of page