La meilleure des religions?
- ASVI
- 3 nov.
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Dernière mise à jour : il y a 7 jours
L’islam est la meilleure des religions. Le Coran le dit, les fidèles le pensent. Ceux qui crient « Allahou Akhbar » affirment « Allah est le plus grand ». Pas « Allah est grand », pas « Allah est plus grand », non : « Allah est LE plus grand ». Plus grand donc que les dieux d’autres religions. Plus grand que les lois humaines, plus grand que l’amour que l’on peut porter à sa famille et à d’autres êtres humains, plus grand que tout. Cette religion parfaite exige textuellement de préférer Allah à sa propre famille : « Ô vous qui croyez ! Ne prenez pas pour alliés vos pères et vos frères s'ils préfèrent la mécréance à la foi. Et quiconque parmi vous les prend pour alliés... ceux-là sont les injustes. » (Sourate 9:23)
L’islam se considère comme la religion qui aurait rétabli la vérité falsifiée par les deux précédents monothéismes. Son prophète est « le sceau des prophètes », celui qui ne peut être suivi d’aucun autre.
Une caractéristique fondamentale de cette religion intrinsèquement politique est l’appel à tuer ceux qui la quittent. Mais ceux qui refusent de s’y soumettre sont à peine mieux lotis. Dès les premières pages du Coran, le non-musulman est voué à l’enfer. Dès ses premières années de vie, l’enfant musulman est encouragé à le mépriser et à le haïr, par un conditionnement qui prépare le terrain à la violence.
Les musulmans sympathiques et bien intégrés, comme nous en connaissons tous, le sont malgré l’islam et non grâce à lui. Parce qu’ils ont, pour différentes raisons, échappé à cet endoctrinement. Grâce à leurs propres qualités humaines, à leur réflexion, parce que leur famille a réussi à les en protéger, parce que l’emprise de l’islam n’est pas (encore) assez forte en Europe pour les mettre au pas... Mais ils se font discrets, car ils savent que l’étiquette « apostat » est vite collée sur le dos de quiconque n’adhère pas totalement au dogme.
Alors oui, l’islam est la « meilleure » des religions lorsqu’il s’agit de maintenir une population entière dans un état d’obéissance et de conformisme pour qu’elle vive, croie et pense dans l’intérêt exclusif de ses chefs, en contradiction absolue avec toutes les promesses de vivre-ensemble.



